Desmots pour le dire; 64; 33; 53; Études - Recherches ; 1 - 10 résultats sur 10. Afficher 5 résultats par page. Agroécologie L’agroécologie est une approche alternative à une agriculture intensive qui a amené un appauvrissement des agrosystèmes. Elle promeut des systèmes de production agricole valorisant la diversité biologique et les processus naturels pour assurer la fertilité
modeprojet, c’est-à -dire mettre en place des actions conjointes à tous (PN et OFB) pour s’organiser en mode projet dans la gestion de la marque, facilitant ainsi son appropriation dans les équipes au-delà des seuls gestion - naires ou référents. La définition commune des missions en mode projet des référents, un appui de l’OFB pour
Lehic, c'est que comme je connais mes parents, ils vont être gentils pour un temps et après, ça va surement recommencer. Je pensais leur écrire pour leur dire: 1- Ce qu'ils m'ont
Fast Money. Cet article est une interview que j’ai donnée au magasine Femme Actuelle octobre 2016. Inteview sz Claudia FERREIRA DA SILVA pour Femme actuelleBien souvent c’est un homme. Beau. Intelligent. Charismatique. Il sait parler, mais surtout il sait séduire. Le gendre idéal, pourtant… On l’appelle le pervers narcissique ». Bon menteur, mais surtout expert en manipulation. Qui est cet homme qui choisit avec soin ses victimes avant de les plonger dans un gouffre dont il est dur de se relever ? La thérapeute Geneviève Schmit nous explique comment se libérer de cette pervers narcissique PN est une personnalité et non pas un trait de caractère. C’est un fonctionnement du cerveau, un trouble du comportement qui est assez bien défini. Bien souvent c’est un homme. Il peut être n’importe qui un ami, un voisin, un cousin… On retrouve chez chacun des PN le même noyau central l’immaturité émotionnelle. Pour le PN l’autre n’existe pas, comme chez l’enfant. L’autre n’est pas un individu à part entière qui a des besoins. C’est un être qui est là uniquement pour satisfaire ses propres besoins. C’est un égocentrique absolu, tout doit tourner autour de sa personne. Il n’aime que ce trouble du comportement peut atteindre tout le monde, l’environnement dans lequel on grandit et les traumatismes subis pendant l’enfance par exemple, peuvent accentuer le problème. Cela ne veut pas dire que tous les pervers narcissiques ont souffert au moment de l’enfance. On sait qu’ils ont souvent été des enfants rois ou des personnes qui veulent prendre une revanche sur la peut-on identifier un Pervers Narcissique à coup sur ?Le manque d’empathie, l’incapacité à gérer les frustrations, l’instabilité émotionnelle, sont les premiers symptômes constants. Viennent ensuite une ruse très développée et l’intelligence. Il brille en société et fait tout pour avoir un bon statut social. Cela peut passer par de grandes études. Il a une vision grandiose de lui-même et a besoin de l’admiration des point très important il est charmeur et séducteur. Lorsqu’on le rencontre, on se dit que c’est l’homme idéal, le gendre parfait, un bon mari. Ce charisme lui permet de mieux manipuler sa victime. La parole devient son arme la plus précieuse. Il dit les choses sans les dire. Le sous-entendu est pour lui un bon moyen de faire passer un message souvent négatif, comme un reproche ou une critique. Il flatte sa victime pour ensuite mieux la proie va peu à peu être sous son emprise sans prendre conscience de ce qui est en train de se passer. Dans un premier temps elle éprouve quelque chose de très vif, de très puissant, de l’amour. Elle a l’impression d’avoir rencontré une partie d’elle-même, comme si cet homme était son double. Peu à peu, elle ne peut plus s’en passer, elle a l’impression de ne plus pouvoir respirer sans lui. Une dépendance qui la mène jusqu’à la souffrance. Aucune décision ne peut plus être prise sans lui. La victime se sent affaiblie et poussée dans ses lui on se trouve dans le triangle de Karpman, avec la relation de victime, bourreau, sauveur ». Dans un premier temps, il valorise sa compagne », pour mieux la rabaisser par la suite. Et c’est à ce moment-là qu’il enfile la cape du sauveur pour essayer de la tirer vers le haut et ensuite cela cache quelque chose. Au fond de lui-même il est extrêmement anxieux. Il a besoin de tout contrôler, c’est pour cela qu’on le retrouve dans des postes importants » où il peut jouer les chefs et avoir le est le profil des victimes d’un Pervers Narcissique ?Même les personnes les plus intelligentes et affûtées peuvent tomber dedans. Le problème c’est qu’il est presque impossible de reconnaître un pervers narcissique au tout début de la relation. Il passe pour quelqu’un de sensible, à l’écoute de l’autre. Face à lui, il a une personne qui est vraiment sensible voire fragile, qui se trouve à ce moment-là dans une période compliquée la perte d’un emploi, une rupture amoureuse… Elle a une faible estime d’elle et manque de confiance en elle. Il va donc faire croire qu’il va combler les besoins de l’ se rend vite compte que si le pervers narcissique flaire sa proie, la proie elle aussi flaire son bourreau, parce qu’elle cherche son sauveur, celui qui sera là pour elle, pour la comprendre. Le germe de la victime est assez semblable à celui du PN, il y a une sorte d’immaturité émotionnelle. Elle est naïve et romantique au point de se dire qu’elle va pouvoir le sauver de ses tourmentes ». C’est une pirouette de son égo qui cherche des raisons de rester dans cette relation toxique et la victime reste dans cette relation ?Tout simplement parce qu’elle est comme droguée. Elle ne peut pas s’en défaire. Mes patientes sont dans une émotion contradictoire elles savent qu’elles se foutent en l’air, mais elles ne peuvent faire autrement que de rester. Au départ elles pensent toutes être amoureuses, mais le sentiment se pervertit lui-même et elles se mettent à vraiment croire que c’est de l’amour. Elles peuvent aller jusqu’à verrouiller la situation en les épousant par peur de perdre cet homme. Pour être sûre de le garder, certaines vont même jusqu’à avoir un enfant avec lui. Ce que j’essaie d’expliquer à mes patientes c’est que l’amour ne doit pas être une souffrance. Elles ne peuvent pas prétendre aimer celui qui les mène à la maladie ou à la de leur environnement elles ne sont plus crédibles. Certaines sont même des femmes battues qui restent avec leur agresseur. Elles portent plainte contre lui, mais y retournent, alors forcément les autorités comme l’entourage peuvent avoir du mal à s’en sortir et comment faire ?On peut s’en sortir ! Mais pour cela il faut devenir acteur de la situation en reconnaissant que l’on a une part de responsabilité dans tout ce qui a pu se passer. La différence entre la victime et son bourreau, c’est qu’elle, elle peut changer, évoluer, apprendre de ses failles et passer à autre chose. Le PN, lui ne peut pas. Le comportement de la victime a un impact sur la réponse du PN. Il faut être malin pour s’en sortir en évitant de provoquer les foudres de cet homme. Pour cela il faut de la chance, de la force, un entourage bienveillant, s’informer. Se faire suivre me semble dire au pervers narcissique que l’on connaît sa vraie nature ?Non ! Catégoriquement non ! Il va se moquer de vous et vous dire que c’est vous la perverse narcissique, comme un retour de miroir, ou cela va créer un stress chez lui. Il va avoir l’impression de perdre le contrôle. Il faut bien comprendre que l’on est dans une dynamique émotionnelle mon comportement va être à la hauteur de ma réponse . La victime doit comprendre que ce qu’elle fait a un impact. Elle ne doit pas le provoquer en lui disant ses quatre vérités. Elle doit jouer la carte de la diplomatie. Elle doit préparer son départ se passe-t-il après une relation pareille ?J’invite les personnes qui doivent se reconstruire après une telle relation à reprendre contact à leurs valeurs en redéfinissant celles qui leurs sont chères et qu’elles ont piétinées. Souvent elles ressentent de la honte par apport à ce grand fois que la stabilité émotionnelle a été retrouvée, mes patientes peuvent rencontrer des personnes qui correspondent à leur moi » plus travail sur elles leur permet de tenir compte des signaux d’alarme lors d’une future relation. Celles qui ne parviennent pas à se poser les bonnes questions sur elles-mêmes sont effrayées de tout. Elles se lancent dans des relations pansements en passant d’un bras à l’autre. En fait, elles retrouvent une autre forme de quand elles sont passées à autre chose, elles ont peur de recroiser cet homme et de faire une crise de panique. Cette réaction est due à ce que j’appelle le mille feuilles » de chocs traumatiques. Tous les chocs qu’elles ont subis pendant la relation restent encrés en une chose est certaine il n’est pas impossible de refaire sa vie, après avoir rencontré un pervers FERREIRA DA SILVA pour Femme actuelleGeneviève Schmit, thérapeute est l’ auteur du livre Le manipulateur pervers narcissique – Comment s’en libérer – Victimes, prenez le pouvoir sur votre vie ! Editions GrancherParlons en !Vous pensez être victime d’un Pervers Narcissique ?Consultations en ligne de 40 minutes par Skype et par téléphone© Geneviève Schmit, experte dans l’accompagnement des victimes de manipulateurs pervers narcissiques depuis 2012. Pour toutes consultations à distance, laissez-moi un texto au La reproduction intégrale de mon écrit est autorisée. Cependant, mon nom complet ainsi que le lien actif de la page du site internet ou/et est obligatoire. Vous remerciant de votre compréhension ainsi que de l’intérêt porté à mon grand plaisir à lire vos interventions sur le Facebook qui vous est dédié Facebook pour les victimes de violence psychologique et de manipulation perverse.
Parents manipulateurs narcissiques comment s’en sortir ? Si vous avez été éduqué par des parents pervers narcissiques, il est fort probable que vous en gardiez certaines séquelles à l’âge adulte. Le parent manipulateur narcissique a tendance à abuser du pouvoir que lui confère l’autorité parentale. Il peut rabaisser verbalement son enfant et le persuader qu’il est un bon à rien, l’insulter et le battre, lui demander des choses impossibles à accomplir pour le mettre en échec et le punir ensuite… Pour lui, tous les moyens sont bons pour dominer son enfant. Voyons ensemble quelles sont les cinq principales séquelles que gardent les enfants de parents pervers narcissiques et comment s’en sortir dans chaque cas. 1. Le perfectionnisme Le perfectionnisme est la séquelle la plus courante chez les enfants de parents manipulateurs pervers narcissiques. Le parent PN ne manifestera de la sympathie à son enfant que lorsqu’il se comportera parfaitement » et qu’il ne commettra aucune erreur. Il demandera même à son enfant de réaliser l’impossible pour le mettre en échec et ensuite le rabaisser méchamment. L’enfant retient que son parent n’est gentil avec lui que lorsqu’il fait parfaitement bien tout ce qu’il a à faire. L’être humain a besoin d’amour pour grandir, et adopte très souvent un comportement lui permettant de l’obtenir de la part de ses parents. Lorsque ceux-ci lui manifestent un amour conditionnel, il se doit de se plier à leurs exigences pour être aimé. L’enfant de PN ne s’accordera le droit au repos que lorsqu’il sera parfait ». Il s’appliquera alors minutieusement sur tout ce qu’il fera dans le but de correspondre à ce qu’il voit comme la perfection. Vaincre le perfectionnisme Le perfectionnisme peut vous aider rendre un travail propre, et à bien vous appliquer à l’ouvrage. Par contre, il peut vous ralentir dans vos projets à force de chercher comme faire les choses parfaitement et pas autrement, vous restez sur place et vous n’avancez pas. De même que vous pouvez croire que vous n’êtes pas parfaits tel que vous êtes, et que vous devez devenir différent pour avoir enfin le droit de vous laisser vous-mêmes tranquille. Afin d’y mettre un terme, je vous invite à méditer sur le fait que vous êtes déjà parfaits tel que vous êtes. Vous pouvez également fournir un travail qui n’est pas parfait et constater que les résultats peuvent aussi être positifs pour vous. Trouvez le juste milieu entre en faire trop et pas assez. 2. La faible estime de soi Lorsque le parent manipulateur rabaisse son enfant et l’insulte en permanence, comment faire pour avoir confiance en soi à l’âge adulte ? À force d’entendre qu’il est un bon à rien, qu’il n’arrivera pas à réaliser ses rêves, ou encore qu’il est ridicule d’être heureux, l’enfant finit par croire que ses parents ont raison. Il est persuadé qu’il n’a pas le droit au bonheur et commence inconsciemment à se dire dans ses pensées ce que son parent lui a longtemps répété. Le manipulateur n’a alors plus besoin de rabaisser sa victime car celle-ci le fait déjà toute seule. Être fier de soi, même après avoir côtoyé des parents manipulateurs Pour mettre fin à cette faible estime de soi, il vous faut accomplir des choses dont vous pourrez ensuite être fiere ! Par exemple créez-vous le travail de vos rêves, emménagez dans un lieu qui vous plaît, ou encore coupez les ponts avec vos parents pervers narcissiques ! Plus vous allez faire ce qui vous rend fier de vous, plus votre estime de soi va grandir ! Lorsque vous n’avez pas osé dire ses 4 vérités à quelqu’un ou que vous avez échoué à atteindre un de vos objectifs, notez sur papier tous les j’aurais dû faire ceci ou cela » qui vous traversent la tête, ils sont précieux. Ensuite, passez à l’action ! C’est à force d’essayer qu’on réussit ! 3. La Dépendance affective La dépendance affective est la croyance que l’amour est une denrée rare et que très peu de personnes peuvent vous le donner. Lorsque vos parents ont été manipulateurs pervers narcissiques, vous avez probablement manqué cruellement d’amour, de gentillesse et de bienveillance dans votre quotidien. Le PN a un comportement insultant et méprisant. Sa façon d’agir le pousse à être haï de sa victime. Sa seule solution pour qu’elle reste auprès de lui est de la maintenir dans la peur. Il peut donc la persuader qu’elle doit rester auprès de lui car c’est son devoir, ou bien qu’elle ne sera pas capable d’être aimée par quelqu’un d’autre. Répétant le même schéma plus tard, de nombreux enfants de parents manipulateurs sautent dans les bras d’un conjoint froid et distant qui ne leur manifeste pas d’amour et ne les accepte pas comme ils sont. Vaincre la dépendance affective Mettre un terme à la dépendance affective est possible lorsque vous voyez par vous-mêmes que l’amour est disponible partout, et que de nombreuses personnes peuvent vous en donner. Je peux vous conseiller de donner de l’amour et de la gentillesse à un grand nombre de personnes, et observez que la plupart d’entre elles vous le rendra. Faites vos tests et évaluez le résultat par vous-même. 4. Culpabilité L’enfant croit naturellement ses parents. Ils lui apprennent comment fonctionne le monde et ce qui est bien ou mal. Un parent manipulateur va user de sa crédibilité pour faire du chantage affectif à son enfant. Il lui dira que c’est son devoir de rendre son parent heureux, et se montrera toujours plus exigeant envers lui. Étant donné que le parent manipulateur peut faire vivre un enfer à son enfant, celui-ci ne restera pas pas peur, mais par devoir ou par crainte. À l’âge adulte, ce comportement persiste, et peut donner de la culpabilité abusive dès lors que nous quittons quelqu’un ou que nous ne nous comportons pas comme il l’attend. La culpabilité est lourde et pesante, et peut nous paralyser à chaque fois que nous estimons être méchant. La plupart du temps, elle se produit lorsque nous refusons de nous sacrifier pour rendre l’autre heureux. Pour mettre un terme à la culpabilité liée aux parents manipulateurs Pour y mettre un terme, je vous invite à continuer de vous sacrifier pour rendre les heureux jusqu’à ce que vous en ayez naturellement marre de le faire pour plusieurs raisons Vous n’arrivez pas à les rendre heureux mais simplement à les contenter de manière éphémère Quoi que vous fassiez, ils en demandent toujours plus et comptent toujours sur vous Lorsque vous arrêtez de vous sacrifier pour rendre l’autre heureux, il est possible qu’il se mette en colère contre vous et oublie » tout ce que vous avez fait de bien pour lui. Vous n’êtes pas responsable des émotions d’autrui. Seul lui peut les gérer cela vaut pour vos parents manipulateurs Vous êtes responsable des vôtres par contre, et ce dès maintenant ! 5. La méfiance exagérée Les parents manipulateurs narcissiques ont des tendances paranoïaques ils sont persuadés que le monde extérieur veut leur nuire et se sentent en permanence persécutés. Ils croient que leurs enfants agissent dans le but de leur pourrir leur journée ou bien de les énerver. Ce tempérament les pousse à se méfier de leurs enfants, et à fouiller leurs jardins secrets dans les moindres recoins à la recherche de preuves qu’ils préparent un mauvais coup. Une personne épiée de la sorte et traitée en ennemi verra son parent comme quelqu’un de dangereux dont il faut se méfier. Il côtoiera le mensonge, la violence, la ruse et la tromperie dès son plus jeune âge. En grandissant, l’enfant continuera à se méfier des gens qu’il rencontre. Étant donné que ses parents lui ont montré l’exemple du mensonge et de la trahison, il aura peur que cela se reproduise et aura beaucoup de mal à accorder sa confiance à quelqu’un. Celui-ci pourrait à tout moment le trahir, après tout. Apprenez à vous faire confiance Pour se défaire de la méfiance exagérée, il est important de réaliser que la plupart du temps, c’est vous-mêmes qui vous faites le plus de mal. Entre le futur que vous redoutez et le passé traumatique qui vous hante, c’est dans le présent que vous vous infligez une grosse dose de peur. La méfiance naît en votre cœur, c’est là qu’elle prend racine. Personne ne pourra plus vous blesser émotionnellement, vous humilier, vous rabaisser devant les autres ou vous faire pleurer si vous avez une bonne opinion de vous-mêmes. Lorsque vous prenez les méchants propos d’autrui pour vrai, vous vous faites du mal tout seul. En conclusion C’est souvent difficile à admettre, mais le parent manipulateur ne souhaite pas l’épanouissement personnel de son enfant. Il veut le garder auprès de lui, diminué psychologiquement et physiquement si possible. Être son propre meilleur ami, ça s’apprend avec le temps. Lorsque vous vous comportez comme votre meilleur ami, jamais vous ne vous rabaisserez ou vous infligerez de la culpabilité. Vous vous réconforterez à chaque coup dur, et apprendrez à vous aimer davantage chaque jour. Le parent manipulateur utilise son enfant comme un objet pour obtenir de l’attention, une main d’œuvre ou simplement le plaisir d’avoir une personne qui ne l’abandonnera pas car elle devient dépendante de lui. La meilleure arme contre ce genre de personne, c’est d’être votre propre meilleur ami. Être son propre meilleur ami, ça s’apprend avec le temps. Lorsque vous vous comportez comme votre meilleur ami, jamais vous ne vous rabaisserez ou vous infligerez de la culpabilité. Vous vous réconforterez à chaque coup dur, et apprendrez à vous aimer davantage chaque jour. Le parent manipulateur utilise son enfant comme un objet pour obtenir de l’attention, une main d’œuvre ou simplement le plaisir d’avoir une personne qui ne l’abandonnera pas car elle devient dépendante de lui. Si vous estimez avoir besoin d’aide pour traverser une passe difficile avec des parents manipulateurs, je suis disponible en coaching En consultation à distance par Skype ou téléphone Dans mon cabinet situé à Toulouse Ou par écrit pour vous fournir une réponse sous 48h maximum
On en crève tous d'envie. De se le prendre entre quatre yeux et de lui balancer tout ce que l'on pense de lui. De sa façon de travailler, de manager et de se comporter avec nous. Attention, pas de sa manière de mal se fagoter, de son haleine de poney ou de son humour de régiment. Pas d'attaque perso que du pro. Evidemment, même armé d'arguments béton, on n'ose pas. Critiquer son chef, c'est mal. Et pourtant. La British Psychological Society qui vient de se pencher sur la question, révèle dans les conclusions d'une étude, que les quatre vérités ainsi envoyées, c'est tout bon pour tout le monde. Pour le collaborateur d'abord, qui se transforme, selon les british psychologues, en employé heureux, en bonne santé et non stressé ». Bon, sans avoir passé une thèse sur les psychopathes de bureau, on se doute un peu que de se lâcher un bon coup permet d'évacuer tout ce qu'on a sur la patate, ce qui fait un bien fou. Simplement, il nous semblait plus judicieux de choisir une bonne copine ou son carnet intime pour vidanger son trop-plein. Que nenni ! L'étude encourage à choisir son boss pour cible. Il paraît que lui balancer ce que l'on pense vraiment de lui constitue un baume de jouvence pour le manager en question. Quand les cadres dirigeants recevaient des commentaires des employés, ils étaient plus enclins à modifier leur style de gestion et ils étaient donc perçus comme des cadres plus efficaces, » expliquent les auteurs de l'étude à propos de leurs cobayes. Car ils ont testé leurs supputations sur des cols blancs vrai de vrai pour en arriver à ces conclusions. Et là , on se dit qu'ils sont quand même very fortiches, les cadres dirigeants englichs. Voilà des gens tellement équilibrés et tellement capable de recul sur leur propre personne qu'ils savent se remettre en question comme c'est pas permis, dès la première critique venue. Se braquer contre le collaborateur qui balance ? Il ne saurait en être question. S'enfoncer dans ses certitudes ? Pensez-vous. Toute critique est constructive » et tout se qui ne détruit pas renforce », ça force le respect. Bien sûr, on ne demande qu'à y croire. Sauf que notre cartésianisme a vite fait de nous faire quitter l'Olympe des chouettes idées que-même-qu'on-dirait-que-ça-serait-pour-de-vrai. Dans la vraie vie de boulot, made in France ou n'importe où ailleurs que dans le cadre fantasmé d'une étude grande bretonne, vous aurez observé que ça se passe rarement comme ça. Parce que les managers sont des hommes et des femmes avec un affect, des sentiments, de la mauvaise foi et même du quant-à -soi. Surtout ceux qui explosent leurs 60 heures par semaine. Pour eux tout particulièrement, prendre le temps de se faire taper dessus par leurs collaborateurs verbalement s'entend ne fait pas partie de leurs priorités. Ce sont des gens pragmatiques. Néanmoins, si l'envie vous prend d'appliquer à la lettre les conclusions de cette étude sur votre propre chef, nous serions ravis et curieux de connaître sa réaction. Et pour tout les autres, plutôt adeptes de la faux-dercherie, venez donc raconter votre furieuse envie de tout balancer. Ça ne pourra que vous faire du bien. Sylvia Di Pasquale © - 18 janvier 2009 Charles Monnier ©
dire ses 4 vérités à un pn